Reportage sur le feu La Belle au bois dormant
10 décembre 2011 — Royal Pyrotechnie
Évaluation du spectacle
La Belle au bois dormant a commencé avec un tir soutenu de pivoines, suivi d’une séquence de petites chandelles romaines pendant la narration d’introduction.
Par la suite, la représentation pyrotechnique de l’arrivée des trois bonnes fées a été effectuée au moyen d’un tableau à base de larges queues de cheval de quatre variétés : dorée sans pointes, dorée avec pointe rouge (fée Flora), dorée à pointe verte (fée Fauna) et argent sans pointes (fée Pamprenelle).
Pour sa part, l’arrivée de Maléfique, la sorcière qui jette un sort à Aurore (qui deviendra plus tard la Belle au bois dormant), a été représentée par des studata lampi, des crossettes crépitantes, des marrons d’air et des pivoines à pointes grésillantes.
Le moment fort du récit, soit quand Aurore se pique à la pointe du fuseau d’un rouet, a été représenté au moyen de la première pièce montée du spectacle, qui représentait l’outil qui plonge le personnage principal dans son désormais célèbre sommeil.
Avant de recevoir le baiser salvateur, le segment qui correspondait au sommeil d’Aurore était principalement constitué de bombes à motifs, comme des anneaux, des Saturne et une bombe en forme de champignon.
Finalement, dans le dernier segment, deux pièces montées en forme de cœur se sont illuminées afin d’illustrer l’amour éternel entre Aurore et le prince Philippe.
La finale a pris la forme d’un bombardement de dalhias dorés crépitants et de quelques pivoines de gros calibre.
Étrangement, le gâteau «Dragon Eggs», qui est devenu par la force des choses la signature de Royal Pyrotechnie, a brillé par son absence pendant les derniers instants.
Laisser un commentaire